Il y a 2 ans, j’étais au Burkina Faso avec Marina (mon épouse) dans le cadre d’une mission avec la SIM.
C’était fantastique à tout point de vue…
Il y a 2 ans, j’étais au Burkina Faso avec Marina (mon épouse) dans le cadre d’une mission avec la SIM.
C’était fantastique à tout point de vue…
Mise à jour : c’était génial ! Clique ici pour voir la vidéo
Cela fait des années que je réfléchis sur le fait de partir un jour en mission en Afrique.
J’ai participé à des événements, j’ai écris à ce sujet et j’ai même eu le privilège d’avoir été invité à parler de « la vie missionnelle » auprès d’une vingtaine de jeunes.
Quand ma mère est décédée en 2010, je lui avais promis une chose sur son lit de mort : « J’utiliserai ma vie pour faire quelque chose de significatif ! »
Ce que je lui disais par ces mots, c’était « Tu m’as élevé. C’était pas facile étant donné tous les problèmes que tu as eu : santé, financier, famille… Maintenant que je suis un adulte, je ne gaspillerai pas toutes les ressources que tu as mis pour moi. Si Dieu le veut, je partirai en mission et je partagerai la Bonne Nouvelle de Jésus-Christ là où il m’appellera. »
Est-ce en Afrique ? En 2025 ? Je ne sais pas.
Je ne sais pas si Dieu me veut en Afrique ou en France, mais en attendant j’essaye d’apporter l’évangile autour de moi à travers mon travail, mon église et d’autres activités. Et je suis complètement ouvert à servir Dieu en France… si telle est sa volonté.
Mais mon désir d’aller en Afrique est si présent depuis tant d’années, que ce serait ne pas tendre l’oreille à Dieu de ne pas aller là-bas pour voir s’Il a des choses à me dire…
Dans le cadre de mon travail quand j’étais au SEL, je me suis rendu en Haïti pour faire un reportage en direct via un blog. Un projet passionnant !
J’ai pu voir notamment de mes propres yeux ce que signifiait « être pauvre dans un pays pauvre ». Ca m’a marqué.
Et si je pouvais faire une courte mission de quelques semaines en Afrique pour expérimenter la mission… ce serait pas génial ?!
J’ai donc décidé d’aller au Burkina Faso en août prochain avec la SIM, un des organismes les plus recommandés pour son sérieux.
Passer 3 semaines au Burkina Faso représente un coût. Et bien que je pourrais dans l’absolu payer l’intégralité de ce voyage missionnaire seul, ce serait vraiment pas une situation idéale.
Voici pourquoi :
Je fais donc un appel à don pour ce voyage. C’est un soutien important pour moi, mais aussi la possibilité pour vous de soutenir une mission à distance. Vous pourrez ainsi vivre quelque peu cette expérience avec moi et contribuer concrètement.
Total : 1247€
Pour le moment, je cherche des dons pour m’aider à payer le vol. Si vous vous sentez de participer à hauteur de 50€ minimum, rendez-vous ici.
A très bientôt pour la suite 😉
Dimanche dernier, j’ai traité le thème « Honorer ses parents, si difficile que ça ? » auprès des jeunes de mon église.
Voici quelques passages bibliques que j’ai utilisés :
« Honore ton père et ta mère afin de jouir d’une longue vie dans le pays que l’Eternel ton Dieu te donne. » Ex. 20.12b
«Maudit soit celui qui traite son père ou sa mère avec mépris.» Et tout le peuple répondra: «Amen !»» Deut. 27.16
«Enfants, obéissez à vos parents en toutes choses, c’est ainsi que vous ferez plaisir au Seigneur.» Col 3. 20
« Si vous aimez seulement ceux qui vous aiment, allez-vous prétendre à une récompense pour cela ?» Mat. 5. 46a
«Je suis accablé de tristesse, à en mourir. Restez ici et veillez avec moi ! Puis il fit quelques pas, se laissa tomber la face contre terre, et pria ainsi: O Père, si tu le veux, écarte de moi cette coupe ! Toutefois, que les choses se passent, non pas comme moi je le veux, mais comme toi tu le veux.» Mat. 26. 38-39
« Mais le fruit de l’Esprit c’est l’amour, la joie, la paix, la patience, l’amabilité, la bonté, la fidélité, la douceur, la maîtrise de soi.» Gal 5. 22-23a
« Il faut obéir à Dieu plutôt qu’aux hommes» Actes. 5.29b
Dimanche 31 janvier 2016, j’ai eu le privilège de partager mes récentes réflexions sur la vie missionnelle auprès des jeunes adultes (groupe Jacob) de l’Église protestante des Chinois à Paris.
Vous retrouverez ici l’enregistrement audio, les slides, les vidéos et les liens vers toutes les ressources citées.
note : On m’a notifié qu’une confusion avait été faite entre la notion de mariage (juridique) et la bénédiction (religieux). L’église n’a pas vocation à marier, mais à bénir un couple. Dans ce billet, j’exprime surtout un désaccord avec la bénédiction des couples homosexuels dans l’église plus que le mariage civil.
L’Eglise protestante unie de France (une branche importante du protestantisme) a voté ce dimanche en faveur du mariage homosexuel dans les églises membres de cette union.
Cette décision m’a vraiment contrarié et en voici l’expression.
à la mairie. (mais pas pour l’adoption et la procréation assistée etc.)
Avant de développer plus la question du mariage homosexuel à l’église, il est important pour moi de prendre le temps d’expliquer mon arrière-plan :
Revenons maintenant à notre question d’actualité. Aujourd’hui, il existe un débat au sein des protestants sur la question du mariage homosexuel.
Avec une personne athée, il n’y a pas vraiment de débat sur cette question. Elle ne croit pas en Dieu donc elle ne cherchera pas à connaître l’avis de Dieu sur cette question.
Par contre là où ça devient extrêmement dérangeant, c’est quand mes frères et soeurs chrétiens qui partagent la même foi que moi, acceptent de marier des couples homosexuels…
Le mariage à l’église, c’est l’union de deux personnes devant Dieu et par Dieu. Mais si Dieu est contre l’homosexualité, comment peut-il y accepté qu’il y ait un mariage homosexuel dans sa maison ? C’est juste cohérent non ?
Pour avoir discuté avec un chrétien qui était pour le mariage homosexuel, son argumentation était très tirée par les cheveux. Il essayait de me montrer que la Bible ne dénonçait pas l’homosexualité, mais plutôt des pratiques sexuelles immorales… Asse faible comme argumentation n’est-ce pas ?
Là où je suis vraiment gêné par la position de certains chrétiens, c’est l’impression suivante qu’ils me donnent : d’adapter la Bible à notre société actuelle. C’est tellement confortable d’adapter la Parole de Dieu (la Bible) à ses propres envies. Est-ce que ces gens se rendent comptent de ce qu’ils font ?
La Bible devient donc un Wikipedia, avec des textes qui se modifient. Chacun y collabore jusqu’à ce que le texte nous plaise. On a donc inventé la Bible collaborative. (Heureusement, il reste encore des modérateurs.)
En tant que chrétien, il faut un jour se poser la question suivante « Est-ce que je crois à ce qui m’est le plus confortable pour moi, ou alors j’essaye authentiquement de comprendre Dieu et sa volonté ? »
Je suis chrétien, mais je continue à pécher. Et quand je pêche, je sais que je pêche. Et quand la prochaine fois je recommence ce même péché, je ne vais pas arrêter de qualifier mon acte de péché juste parce que ça m’arrange ou parce que nous vivons à une époque où c’est mon péché est devenu répandu.
L’humble protestant évangélique que je suis veut condamner la décision qui a été prise par ces églises réformées. Sur cette décision, elles ont fait passer l’intérêt de l’homme devant celui de Dieu. Et c’est très grave quand on se présente comme « disciple de Jésus ».
* Ce billet fait référence à ma foi chrétienne.
Depuis près de 10 ans, je ressens l’envie d’aller un jour en Afrique. Essayons de comprendre pourquoi…
Si on devait enquêter sur cette envie, voici les indices qu’on trouverait :
Ces quelques raisons seules ne suffisent pas du tout à expliquer mon désir d’aller vivre en Afrique.Surtout que ma vie, ici en France, est génial !! Vraiment j’ai tout !
J’ose donc croire que ce désir me vient de Dieu.
« The place God calls you to is the place where your deep gladness and the world’s deep hunger meet. » Frederik Buechner
Depuis le jour où j’ai vu cette citation, je n’ai pas arrêter d’y penser et… de la partager.
J’ai effectué mon stage de fin d’année en Chine et j’y suis resté 15 mois. Beaucoup de choses se sont passées là-bas, dont le décès de ma mère des suites d’une chirurgie. A ce moment-là, je me suis dit quelque chose comme « Tu vas faire quelque chose qui a un sens dans ta vie ! Quelque chose qui va demander de sacrifier ta vie paisible et facile. La vie est courte, alors agis ! »
En Chine, je faisais partie d’une superbe église et elle m’a notamment inspiré à faire des maraudes. Un soir, nous avons cuisiné (ils ont cuisiné) puis nous sommes allés distribuer des repas dans les rues de Shanghai. Et on priait pour les gens aussi. En plein centre-ville ! Et ça m’avait beaucoup plus… je trouvais que ce que je faisais avait un sens.
Puis je suis revenu (2 jours après le mariage d’un de mes meilleurs potes…) et j’ai compris rapidement que ma place n’était pas là. Pas en Occident, dans un pays économiquement développé.
Je sentais qu’une routine allait s’installer (pourtant je travaillais à mon compte). Que dans le confort de ce pays, ma sensibilité envers les plus démunis allait se noyer dans les préoccupations trop souvent futiles de notre société. (Je vous ai raconté que je m’étais réveillé à 3h du mat’ pour faire la queue pour acheter un iPhone 6 et que je suis arrivé une heure en retard au travail à cause de ça… ? :p).
Alors j’ai commencé à me lancer des défis stupides, histoire d’entretenir un peu ce désir « d’aventure » qui était en moi.
Depuis quelques années, j’ai un adorable neveu avec qui je passe du temps. Au début, c’était principalement une obligation morale et familiale ; il vit dans un foyer d’accueil pour enfants. Aujourd’hui, c’est non seulement devenu un plaisir de le voir, mais je sais que c’est ce que Dieu veut.
Ce qui implique que je dois rester en France jusqu’à qu’il devienne adulte au moins. Soit 10 ans encore.
Ce n’est donc pas une frustration pour moi, parce que je sais que j’obéis à Dieu. Et honnêtement, la tâche me parait plutôt facile pour le moment donc je ne me plains pas. C’est un enfant super sage et adorable et… encore une fois, la vie est belle !
Alors j’essaye de me préparer ici.
Tout d’abord, pourquoi l’Afrique ? En réalité, c’est pas tellement la culture, le climat, la langue… c’est plutôt l’envie d’aller là où la pauvreté est la plus grande. Il y a donc aussi quelques pays extrêmement pauvres ailleurs.
La réalité, c’est aussi que je ne peux pas dire aujourd’hui avec certitude que je serai missionnaire à l’étranger. C’est mon grand désir, je m’y prépare et je sais que Dieu me veut vers cette direction. Mais tout peut se passer d’ici 2025 et je ne planifie pas tellement pour réaliser. Je planifie pour avoir avec une direction. Si j’ai un accident un jour et que je deviens invalide et que Dieu veut que j’utilise le web pour parler de Jésus en Afrique, je le ferai… et avec grande joie je l’espère !
Dernièrement, on m’a demandé comment je savais que j’étais dans la bonne direction et dans la volonté de Dieu. J’ai pris l’image d’un père à qui on offre un cadeau surprise.
Et j’ai lu dans Missionary Call que Dieu ne s’amusait pas à mettre des nobles désirs profondément dans notre coeur pour nous frustrer à la fin et nous dire de ne pas faire ça. Attention, cela ne veut pas dire que chacun de nos désirs nous vient de Dieu non plus…
Récemment, j’ai pu « tomber » sur le témoignage suivant : (C’est public, j’ai droit de le publier si je veux !! :p).
C’est tellement rafraîchissant de voir qu’un peu de spontanéité bien placé nous permet de vivre une telle expérience… Si l’auteure de ce témoignage le veut bien, elle mettra des liens vers ses photos Instagram. Moi j’ai écouté les yeux fermés et je m’y croyais…
Une autre amie m’annonce hier (coucou !) qu’elle aussi va faire une mission courte en Asie ! Trop cool quoi 🙂
Ce que je crains c’est que les années à venir, parce que je vis dans le confort de l’Occident, je m’y habitue au point ou un jour je me convaincs que c’est mieux de rester. Le pire scénario c’est que je me marie à une femme qui ne veuille absoluement pas partir, qu’on soit installé tranquillement dans notre maison avec nos enfants, dans une banlieue parisienne et qu’on donne toute notre énergie à notre famille et plus à l’église.
Non pas que ce soit mauvais en soi, ça ne l’est pas ! Mais ça le devient pour moi si c’est une échappatoire pour rester dans ma zone de confort et ne pas suivre ce que Dieu attend de moi.
Je n’ai qu’une vie et j’ai tout à ma disposition pour suivre la volonté de Dieu. Je veux atteindre ce plan A qu’il a pour moi, même si je sais que le plan B ne sera pas mauvais. Mais je ne veux pas être un chrétien de plus à me contenter du plan B…
En attendant,
Et ce qui est intéressant dans tout ça, c’est que ce n’est pas du temps perdu. Cela me prépare à être meilleur le jour où je m’installerai vraiment en Afrique.
1. Pour encourager d’autres personnes.
J’aurais tellement aimé moi-même côtoyer des missionnaires ou avoir des discussions quelque peu profondes avec des gens qui partent et savoir là où ils en sont pour comprendre là où j’en suis. Mais personne dans mon entourage…
2. Pour que l’on prie pour moi.
J’ai soulevé mes craintes qu’un jour, je me contente d’une vie confortable. J’ai aussi besoin de beaucoup de sagesse durant ces 10 prochaines années afin de discerner comment Dieu veut que je me prépare. J’ai tendance à vouloir tout faire parce que tout m’intéresse.
Enfin, je l’écris aussi pour moi-même. Que dans les moments de doutes, de relâchements… je n’oublie pas ce que Dieu a mis dans mon coeur durant plusieurs années.
Des gens souffrent matériellement et spirituellement. Si moi qui ait une sensibilité vers eux, je ne fais rien. Qui le fera ?
En ce moment, je suis heureux de pouvoir me former, de partager sur le terrain une activité associative et spirituelle, de travailler, dans ce que je considère un ministère, auprès du SEL, de participer prochainement à un congrès sur la mission, et donc de faire quelque chose.
Que le Seigneur m’accompagne à transformer mes paroles en actes. Et qu’Il vous bénisse aussi dans ce que vous entreprenez avec Lui !
*Ce billet fait référence à ma foi chrétienne.
C’est l’anniversaire de ton père, et tu veux faire lui offrir un cadeau qui lui fasse plaisir, mais tu ne sais pas du toi quoi. Tu essayes de lui poser des questions pour avoir des indices, tu te renseignes auprès de personnes qui connaissent bien ton père et t’essayes de te souvenir de choses qu’il a dites dans le passé qui pourrait te donner une idée.
Tu n’es toujours pas sûr du tout, mais faut bien faire un choix alors tu lui achètes une montre. A son anniversaire, il découvre la montre. Mais il n’aime tant que ça. Il aurait préféré une cravate.
Mais le fait que tu aies fait tant d’efforts sincères pour lui faire plaisir, que tu aies fait un sacrifice (c’est cher 10000 € l’Apple Watch Edition) il va l’apprécier !! Et il te dira que l’année prochaine, une cravate lui fera plus plaisir.
Est-ce vraiment un échec ? Est-ce que ton père va être déçu et en colère contre toi ?
Ne pas faire un choix ou repousser le choix à plus tard, c’est déjà faire un choix (sauf si c’est planifié et voulu).
Dans la Bible, n’apprend-on pas que Paul lui-même s’est « trompé » quand au début il est allé prêcher aux Juifs. Puis Dieu lui a dit d’aller auprès des païens. Est-ce qu’il a vraiment fauté ?Comment se fait-il que même lui n’ait pas réussi à trouver la volonté de Dieu du premier coup ?
*Ce billet fait référence à ma foi chrétienne.
La pire attaque terroriste de ces dernières décennies en France, c’était ce matin. L’attaque du siège de Charlie Hebdo par des terroristes islamistes a fait 12 morts.
En tant que chrétien, que dois-je penser de tout ça ?
Perso, j’ai dû mal avec le jeune. Mais jeudi soir, je le fais.
La première chose à faire, c’est de prier. D’abord s’en remettre à Dieu. Tant pis si on ne sait pas quoi prier.
Puis quelques suggestions de prières à Dieu :
Tout d’abord, comprendre qu’un islamiste n’est pas un musulman. De la même manière que des terroristes chrétiens ne peuvent être des chrétiens.
Aimer les musulmans qui sont autour de nous, c’est aussi le faire par notre attitude non-verbal. Ne pas les stigmatiser, consciemment ou inconsciemment.
La pire des choses qu’on puisse faire, c’est d’étouffer les musulmans. Il faut leur laisser l’initiative de s’exprimer et de condamner. Tant que les « Occidentaux » critiqueront ces islamistes, ça ne changera pas grand chose dans les mentalités. Au contraire, j’ai envie de dire.
Mais si les musulmans eux-mêmes s’emparent de la condamnation de cet acte, ça fera réfléchir des musulmans qui seraient tentés par l’extrémisme.
Ce que Charlie Hebdo appelle de la satire, en tant que croyant, on ne peut y être indifférent. Ils insultent Dieu régulièrement.
Mais rappelons-nous des paroles de Jésus sur la croix à propos de ses meurtriers :
« Père, pardonne-leur, car ils ne savent pas ce qu’ils font. » (Luc 23:34)
Il ne s’agit pas ici d’un attentat contre Charlie Hebdo.
Il s’agit d’un attentat.
Point.
Un ami (il se reconnaîtra) a tendance à tout politiser, et notamment quand une occasion de critiquer la gauche se présente. Gardons ça pour les débats politiques quand c’est pertinent. Là, il s’agit d’un massacre provenant d’extrémistes sur des citoyens.
On s’en fiche que Charlie Hebdo soit de gauche. Les terroristes ne sont pas de droite.
Politiser ce drame, c’est atténuer la gravité de ce drame.
Toute la journée, je me suis posé la question suivante : « Que puis-je faire en tant que citoyen et chrétien ? »
En tant que chrétien, est-ce qu’on ne « spiritualise » pas de manière excessive notre vie terrestre ?
Face aux enjeux de la société, nous les chrétiens, ne devrions-nous pas être en première ligne ?
Et à ce propos, je serai demain (jeudi) à la marche qui partira de la place de la République à 18h, à Paris. Si vous voulez me rejoindre, je vous donne RDV à 18h devant la boutique Orange sur la place.
Que Dieu protège ce pays !
Restons en contact