Il y a 2 ans, j’étais au Burkina Faso avec Marina (mon épouse) dans le cadre d’une mission avec la SIM.
C’était fantastique à tout point de vue…
Il y a 2 ans, j’étais au Burkina Faso avec Marina (mon épouse) dans le cadre d’une mission avec la SIM.
C’était fantastique à tout point de vue…
Lidjine, une fille rencontrée dans un centre d’accueil.
Du 20 au 28 juillet 2015, un voyage en Haïti a été organisé dans le cadre de mon travail au SEL (association protestante de solidarité internationale). Un résumé jour par jour de ce reportage en direct est disponible en cliquant ici.
Important : Ce qui suit est mon opinion personnelle et n’engage pas mon employeur.
La chose qui m’a le plus marqué en Haïti (l’un des pays les moins développés au monde), c’était de savoir que les personnes n’avaient presque pas d’opportunités de s’en sortir. A moins d’être né dans de bonnes conditions ou de recevoir une aide substantielle, c’était difficile de voir comment les gens pouvaient s’en sortir ici.
Quelques anecdotes pour illustrer mes propos :
C’est là que j’ai aussi compris une chose importante : l’aide humanitaire est importante pour soulager une population, mais ce n’est pas suffisant. Pour qu’un pays se transforme et se développe, il faut agir au niveau des pouvoirs politiques. Nulle société ne s’en est sortie sans un système politique stable et fiable.
Je comprends mieux maintenant aujourd’hui l’importance d’initiatives de plaidoyer comme le Défi Michée.
Une visite qui m’a énormément enthousiasmé : la clinique mobile.
L’idée de voir un petit camion qui une fois équipé se transformer en une « clinique», je trouvais ça génial ! Au-delà du côté gadget, c’était de voir ces médecins et ce personnel dédiés à ces malades qui m’a beaucoup marqué.
Toute ma vie, j’ai vu ma propre mère malade. D’ailleurs, elle est décédée des suites d’une chirurgie trop lourde pour son corps.
De rares fois, je surprenais ma mère en train de pleurer, de souffrir et de prier Dieu. Parfois, les 3 en même temps. Et en dehors de Dieu, il n’y avait personne pour la consoler et l’accompagner. Elle était très seule.
Un des médecins m’a confié « si nous ne prenons pas soin d’eux, qui le fera ? »
Ces médecins font plus que les soigner, ils leur montrent qu’il y a au moins une personne qui leur porte de l’attention et qui les aime. La tendresse qu’ils employaient pour soigner ces patients était vraiment beau à voir.
Au niveau personnel, ce voyage m’a confirmé encore un peu plus mon désir d’aller un jour donner ma petite contribution en Afrique. Je sais que je peux être très utile ici en France à travers mes compétences et mon argent, mais j’ai envie d’aller au contact de ceux qui souffrent. To be continued…
Vous souhaitez en savoir plus ce voyage ? Rendez-vous sur le blog du SEL !
Il y a des chances que l’année prochaine, je l’emmène y vivre au moins la moitié de l’année. Je dois dire que ça me soulagera un peu, car même si je pense que c’est dans mon rôle de m’occuper de lui, je ne suis pas appelé à dédier mes 10 (?) prochaines années à être à temps plein à ses soins. Je ne sais pas… C’est compliqué.
Je pensais qu’on resterait 24h dans l’aéroport de Beijing. Et franchement, ça ne m’aurait pas tant dérangé que ça. Après avoir vu le Terminal et avoir pas mal pris l’avion pendant mes années étudiantes (j’étais coursier à l’international).
Mon père étant lui aussi plutôt aventurier et sociable, il aurait apprécié sortir du quotidien de notre appartement.
Mais au moment où on est sorti de l’avion, on nous indiqua qu’il est possible d’aller en ville jusqu’à 72 heures, sans VISA. J’avoue avoir hésité un instant.
Mais finalement, on prit le métro et on se rendit sur la place Tian an Mei. Je n’avais pas du tout prévu ce voyage, donc j’ai simplement voulu aller à l’endroit que je connaissais.
Les visites à la cité interdite se terminant à 16h, on n’a pas pu profiter à fond de cette visite improvisée. Pas grave, on s’est rendu à un restaurant pour… manger du canard pékinois et du potage pékinois. Trop bon.
Puis on est rentré « dormir » sur les bancs de l’aéroport.
Une journée fatigante, mais que je n’aurais ratée pour rien au monde.
Bienvenue !!
Si tu es là et que tu lis ce billet, c’est que tu es un ami ou que tu m’apprécies un minimum 😀
Et dans les 2 cas, ça me touche 🙂 Merci !
Voici le billet que j’ai réservé:
37h25 de voyage…
Pas de doute, j’ai pris ce vol pour des raisons financières.
L’aller-retour pour mon père et moi revient à 1260 euros. Pour Taipei, c’est vraiment pas cher.
Oui oui, c’est vrai !! Je suis le premier à le penser. Mais tout dépend de ce que je vais faire de ce temps-là …
J’ai promis une chose à mon père durant ce transit: écrire sa mini-biographie.
Je suis assez du genre à faire des promesses dans le vent (pas par manipulation, mais pas manque de responsabilité et flemmardise). Mais là c’est annoncé publiquement. Donc je vais le faire.
Il a 87 ans et s’il avait vécu à notre époque, il aurait été sans aucun doute blogueur. Le désir de partager et de raconter ma vie me vient de lui je pense…
Chaque jour, viens sur hsia.fr. J’y publierai un billet par jour et par semaine.
Je l’avais déjà fait l’année dernière:
Cette année, tout sera ici. C’est « the place to be » si tu veux découvrir Taipei et suivre le voyage d’un solopreneur et de son père retraité.
Pour ne rien râter, rejoins donc la page Facebook: https://www.facebook.com/visitertaiwan ou inscris-toi à la newsletter sur ta droite.
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Dans les grandes villes comme Shanghai, les infrastructures hospitalières sont assez bonnes. La différence réside surtout dans le nombre de patients par hopîtaux qui est bien plus élevé qu’en Occident. La productivité d’un hôpital ne doit pas être très différente de celle d’un McDo…
Durant mon séjour en Chine, j’ai dû allé plusieurs fois chez le dentiste (qui se trouvait à l’hôpital). Vu le nombre de dents soignées à la minute dans ces cabinets, je suis certain qu’un dentiste de 35 ans a autant d’expérience qu’un dentiste de 50 ans en France.
Et toi, as-tu déjà été hospitalisé à l’étranger?
Si oui, comment l’as-tu vécu?
Restons en contact